Normalement, si on suit les belles intentions de la cinquième, nous vivons une démocratie.
Ouaaaaaiiiiiiii.
Donc, les lois nous les voulons. La prospérité règne en France, malgré 5,5 millions de gens au chômage.
Mais de toute façon, si une loi ne nous plaît pas, nous provoquons une alternance, et nous défaisons la loi mal faite.
Ben oui, sinon, une loi faite sans le consentement des « gens », qui ont eu à connaitre tous les tenants et aboutissants, pendant l’élaboration du projet, pour l’amender ou le réorienter, ou simplement l’abandonner, qui devient la Loi sans espoir de retour, c’est quoi déjà comme régime politique ?
Mais voyez plutôt : Sapir et Méluche